[vc_row][vc_column][vc_column_text]En 1860, un général de brigade s’est fait vigneron. Depuis, le flambeau se transmet de génération en génération dans notre famille.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_column_text]

Le Général Cadart

C’est la 5ème générations de propriétaires-exploitants au domaine du Château de Quinçay. Les deux fréres, Frédéric et Philippe Cadart, maintiennent un patrimoine qui a échu, sous le Second Empire, à leur aïeul, le général Charles Cadart. Il est  l’héritier à la mort de son oncle Nicolas Philippon, haut fonctionnaire au ministère des Finances sous la restauration.

C’est cette circonstance qui conduit cet ancien officier supérieur à s’intéresser à l’agriculture et en particulier à la vigne. Né en 1813 dans une famille Rémoise, son classement à la sortie de polytechnique lui avait imposé la voie militaire qu’il embrassa sans entrain excessif bien que sa formation l’eut désigné à servir dans le génie. Il n’en fit pas moins une carrière très honorable qui avait débutée en 1838, en pleine conquête de l’Algérie.

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De Père en Fils

Revenu à la vie civile, il suivit de très près l’activité de l’exploitation agricole du château de Quinçay dont la centaine d’hectares répartissait en bois, cultures céréalières, fruitières, élevages et bien sur, vignoble. A la suite du ravage du phylloxera vers 1870, il fut l’un des premiers à faire replanter avec des cépages greffés, principalement le côt auquel convenait bien le terrain du lieu.

L’aîné de ses deux fils prénommé également Charles, suivit le même itinéraire que son père, en étant de même polytechnicien puis officier. Mais sa carrière militaire s’avère être aussi éphémère que fulgurante car il quitta l’armée pour s’intéresser lui aussi aux productions du terroir de Quinçay.

Les catastrophiques averses de grêle de 1930 l’incitèrent alors àcompenser les pertes du vignoble par la plantation d’asperges. Son fils aîné Charles (3ème du nom) qui repris l’exploitation en 1936, allait être tué en 1949, écrasé par son tracteur. Son frère cadet Henri, en assura alors la continuité. Puis son fils, Jean s’associera avec ses deux fils, Frédéric et Philippe, pour former le GAEC Château de Quinçay qui réunira la quatrième et la cinquième génération de cette ligné de vignerons.

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